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Les preuves irréfutables de l’énorme mensonge de Faurisson sur Blanrue

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Voilà ce qui arrive toujours quand Alain Soral s’en mêle. Dès qu’il met ses sales pattes dans une affaire, quelle qu’elle soit, elle se décompose de la plus hideuse des façons. Le Pr Faurisson se portait très bien avant sa rencontre avec le gourou junkie ; il était respecté et admiré, voire adulé pour sa persévérance et son courage. Depuis que la secte soraëlienne, dans le seul but de conquérir un semblant de respectabilité après les différents scandales ayant frappé le gourou junkie, a décidé de parler de révisionnisme en offrant gardes du corps et journalistes au Pr Faurisson, sans oublier son nouvel avocat Me Viguier qui est celui de Soral, tout s’est écroulé d’une manière assez spectaculaire. Comme par hasard, le Professeur s’est retourné contre ses anciens alliés et amis, allant jusqu’à les traiter de lâches et de pleutres. Pire encore, P.-É. Blanrue vient de poster la preuve définitive qu’il n’a jamais comparé le Professeur à Uri Geller, bien au contraire ; les notes d’audience — de véritables minutes, comme on les appelle — apportent la preuve définitive de l’authenticité et de la sincérité des déclarations de Blanrue.

La capacité de nuisance d’Alain Soral est assez impressionnante ; dès qu’il s’intéresse à un sujet, il s’emploie, par ses excès, ses insultes, son caractère grossier et vulgaire, à le décrédibiliser. Il pollue tout ce à quoi il touche. Il l’a déjà fait, il y a peu, en assénant le coup de Jarnac, aux responsables des JRE et de la FAPEC. Sa mythomanie se révèle même contagieuse. Il a été et restera la cause de la destruction de la nébuleuse dissidente, la « dissidence 2.0 », et sa mission est loin d’être terminée, loin de là.

Quant au Pr Faurisson, la publication de ces notes d’audience prouve qu’il a eu tort et que ses déclarations — qu’on lui a probablement soufflées ou suggérées —  étaient fallacieuses. Puisse-t-il retrouver l’apaisement et la sérénité à même de lui faire prendre conscience de la réalité, sous l’angle de la vérité rétablie. Qu’il ait été induit en erreur, voire abusé, ne serait pas si grave, si par un éclair de lucidité et à la lumière de ces preuves irréfragables, il révisait un jugement hâtivement porté à la sortie d’une audience stressante et sous le déluge ininterrompu de questions visiblement orientées. Gageons que les soutiens du Pr sauront lui conseiller de ne pas trop insister, car il se trouve sur une pente glissante qui n’augure rien de bon.


LES PREUVES IRRÉFUTABLES DE L’ÉNORME MENSONGE DE FAURISSON SUR BLANRUE !

« L’homme est de glace aux vérités ; il est de feu pour les mensonges« 

(La Fontaine)

Le 17 mars 2016, au sortir de l’audience en appel contre le film “Un Homme” (2011), Robert Faurisson, professeur de Lettres à la retraite et pape français du révisionnisme, déclare devant les caméras soraliennes de ER-TV au sujet du réalisateur de ce documentaire attaqué par la Licra, l’historien Paul-Éric Blanrue :

Il (Blanrue) a osé dire : « Oui, j’ai interrogé Faurisson comme j’ai interrogé Uri Geller », qui est l’homme qui fait se déplacer par la pensée les petites cuillères. Alors, il paraît que moi, je suis un trompeur, de la même façon. Vous comprenez ? 

Faurisson fait ici référence aux prétendus propos qu’aurait tenus Blanrue, fondateur du Cercle zététique (un organisme luttant contre les charlatans du paranormal dans les années 90), lors de la tenue de la première instance, le 16 juin 2015.

Quant à Uri Geller, c’est un illusionniste d’origine israélienne qui prétend tordre les cuillères et autres métaux par la seule force de sa pensée. Il a été démystifié par le magicien sceptique Gérard Majax et le Cercle zététique de Blanrue.


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Écoutons Faurisson répandre tranquillement ses accusations.



Si l’on en croit Faurisson, en juin 2015 Blanrue aurait ainsi déclaré à la barre que l’auteur de Mémoire en défense contre ceux qui m’accusent de falsifier l’histoire (La Vieille Taupe, 1980) était un truqueur historique comparable au truqueur parapsychologique Uri Geller.

Faurisson réitère ce grief dans un article envoyé sur sa liste de diffusion, daté du 22 avril 2016 et intitulé : “À Louis-Egoïne de Large (…) disant habiter Cochons-sur-Marne”.

Son texte se veut une cinglante réponse à un jeune homme de province, lecteur de Léon Bloy (sous la plume de l’auteur de Quatre ans de captivité à Cochons-sur-Marne – 1905 – cette commune imaginaire désigne le lieu où Bloy demeure, Lagny-sur-Marne). Faurisson y raconte comment, selon lui, s’est déroulée la première instance.

Ayant suivi les 10 longues heures de témoignages et plaidoiries de cette audience, Louis-Egoïne de Large a affirmé dans un article accablant pour le révisionniste vichyssois avoir entendu le contraire de ce que celui-ci certifie dans la vidéo de ER-TV (lire ici la Tribune libre complète de Louis-Égoïne de Large : http://www.lelibrepenseur.org/les-mensonges-du-professeur-faux-risson/).

Nous soulignons les passages importants de la réponse faurissonienne à de Large et mettons en majuscules son acmé.

“Il (Blanrue) va jusqu’à dire que, pour cette vidéo, il a interrogé Faurisson comme il avait interrogé Uri Geller (un charlatan israélien bien connu pour faire plier des petites cuillères par la seule force de sa pensée et par son regard).

Peut-être va-t-il, enfin, ajouter, comme il en a l’habitude QUAND IL EST AILLEURS QUE DEVANT LES JUGES, que, s’il a pris Geller en flagrant délit de mensonge, il n’a, en revanche, « jamais surpris Faurisson en flagrant délit de fraude ou de mensonge ». C’est, par exemple, ce qu’il avait fait en octobre 2011 ; voyez http://www.egaliteetreconciliation.fr/Blanrue-Je-n-ai-jamais-surpris-Faurisson-en-flagrant-delit-de-fraude-ou-de-mensonge-8460.html.

“HÉLAS, IL S’EN GARDE BIEN.

“Ce jour-là, devant ses juges, de bout en bout, mon ami PEB « a tout fait pour prendre ses distances d’avec Faurisson » : la formule n’est pas de moi mais d’un membre du barreau venu assister au procès et qui me confiera sa déception devant le comportement d’un homme qu’on imaginait moins fragile.”

Faurisson se pique d’exactitude, flatte sans vergogne sa propre méthode réputée infaillible et s’enorgueillit de son incomparable compétence dans le domaine de la critique de témoignages. Sur ces points comme sur tant d’autres, la modestie ne l’empêche pas de dormir. Hélas pour lui, trois fois hélas, l’anecdote qu’il vient de rapporter, à l’instar de son ami anonyme et “membre du barreau”, n’est rien d’autre qu’un ÉNORME ET VULGAIRE MENSONGE.

En voici la PREUVE DÉFINITIVE.

Définitive car émanant d’un document officiel dont l’objectivité froide est inattaquable : la note d’audience de la première instance rédigée par le greffier du Tribunal correctionnel de Paris et contresignée par la présidente.

Cette note d’audience figure dans le dossier. Il s’agit de la retranscription des propos tenus à l’audience ; une telle note, définie à l’article 453 du Code de procédure pénale, a vocation à retracer fidèlement les débats judiciaires.

Qui dit mieux ?


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Voici la copie intégrale du passage incriminé par Faurisson (pp. 5 et 6).


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Malgré l’erreur orthographique du greffier confondant, pour des raisons phonétiques (ce sont les lois de l’oral, il écrit également Preyssac pour Pressac), le révisionniste Henri Roques et le président d’honneur du Cercle zététique, le professeur de biophysique théorique Henri Broch (auteur, avec le prix Nobel de physique Georges Charpak, du best-sellerDevenez sorciers, devenez savants, Odile Jacob, 2003), chacun peut constater de visu ce qu’a réellement déclaré Blanrue :

“J’ai tenté de démystifier Faurisson (…) Nous n’avons PAS réussi à le démystifier, je ne l’ai JAMAIS pris en flagrant délit de mensonge”.

On le constate, Blanrue ne compare PAS Faurisson au tordeur de cuillères israélien Uri Geller.

Nulle part. À aucun moment. Pas une seule seconde. Jamais.

Mieux : Blanrue dit EXACTEMENT LE CONTRAIRE et AFFIRME qu’à l’époque, dans les années 90, il n’a PAS réussi, avec ses collègues zététiciens, à démystifier Faurisson.

Conclusion n°1 : Blanrue a bien dit ce que Faurisson lui reproche de ne pas avoir osé dire.

Conclusion n°2 : Faurisson a menti.

Et quel vilain mensonge indécent ! Un mensonge désormais avéré ! établi ! prouvé ! démontré ! attesté ! assuré ! confirmé  ! Un sale mensonge public vérifié de part en part par une source irrécusable. […]

Lire la suite ici.


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